| Description : Cette petite reine des fonds meubles, qui vit entre 10 et 80 mètres de profondeur, offre ses saveurs délicates en particulier l’hiver.La pêche s’arrête en effet l’été pour la ponte entre mai et septembre. La coquille Saint-jacques est hermaphrodite Cherbourg présente la double particularité sur l’ensemble de la Manche (la mer, pas seulement le Département) de vendre peu de coquilles mais d’en proposer de deux sortes : Celle de l’Ouest de la presqu’île, possède à la fois une coquille plus épaisse, une noix (le muscle) et un corail (la glande femelle est de couleur rouge avec une partie blanche pour la partie mâle) de dimension plus réduite que celle de l’Est, de la Baie de Seine en particulier. La coquille de l’Ouest provient de Carteret. Celle de l’Est vient de Barfleur et Saint-Vaast-La-Hougue. La coquille du Gisement de Cherbourg se rapproche de celle de l’Ouest. Les goûts sont semblables quant à la noix. Seule la proportion en corail modifiera la saveur. A vous de choisir ! La taille maximale de la coquille est de l’ordre de 25 cms mais les individus les plus courants sont de l’ordre de la dizaine de cms pour celle de l’Ouest, de 12 à 15 cms pour celle de l’Est. La coquille Saint-Jacques peut se déplacer relativement vite sur de courtes distances en claquant ses valves et en expulsant rapidement l’eau : C’est le principe de l’avion à réaction mais sous l’eau ! Cette technique lui permet de fuir son plus farouche prédateur, l’étoile de mer. La saisonnalité de l'espèce |